Denis MORIN
créations sonores

 
 
Auguste RODIN
et Camille CLAUDEL

Denis MORIN à sa manière a voulu redonner voix à Camille Claudel pour qu'elle ne reste plus dans l'oubli et présenter Rodin l'homme et Rodin le personnage public comme deux facettes entremêlées.
Elle, parle de sa vie tourmentée, de son amour pour Rodin, de sa rencontre avec Debussy et de la difficulté d'être une femme sculptrice en ce temps-là ; lui,
de sa vie d'homme qui s'avéra un échec, tandis que sa vie de créateur le mena aux sommets de la gloire.

Les deux univers s'affrontent, se déchirent, se répondent...
 

    

Genèse de l'oeuvre : https://ecrivainpoesiedenismorin.org/2018/04/30/premier-article-de-blog/
Article AQUI ! : http://www.aqui.fr/cultures/quand-le-voolume-se-fait-livre,16832.html
PROP(R)OSE :
https://proprosemagazine.wordpress.com/2018/03/25/auguste-rodin-la-vie-a-pleines-mains-poesie-biographiques-de-denis-morin-lues-par-jacqueline-et-jean-claude-barral/
Article de Paul LAURENDEAU publié dans l'Art oriente :
https://ecrirelirepenser.com/2018/09/18/auguste-rodin-la-vie-a-pleines-mains-denis-morin/
Article de Paul LANDERAU publié dans L'Art oriente : https://ecrirelirepenser.com/2018/09/18/auguste-rodin-la-vie-a-pleines-mains-denis-morin/

Extrait des fiches descriptives des cyber-libraires:

Une façon inédite de raconter Auguste Rodin! Denis Morin, auteur québécois, a choisi de compter l’artiste par des petites biographies poétiques. Les principales étapes de la vie du sculpteur prennent vie au fil des mots. C’est la pensée de Rodin qui s’exprime ici. Et pourquoi Auguste Rodin, la vie à pleines mains? Bien sûr à cause du sculpteur qu’il était, mais aussi pour son énergie, sa vitalité, sa force, comme si un flux remontait de ses mains vers l’ensemble de son corps. Denis Morin s’est inspiré ici du principe du journal intime pour faire parler Auguste Rodin et ainsi créer ces poèmes biographiques. Rodin raconte ainsi d’abord les «Beaux Arts». Il nous parle de ses amours et aussi de ses œuvres dont il est fier. Rodin est conscient de son génie. Il nous parle aussi de l’Italie qui a vu naître les plus grands sculpteurs.

 
BARBARA et Félix LECLERC
Deux artistes réunis en poésie, deux défenseurs de la chanson d'expression française sur les mêmes scènes à la même époque, deux vies passées à écrire, composer et chanter...
 
Blog de Martine Roffinella : http://martineroffinella.fr/article-2/
Article de YSENGRIMUS Ecrire Lire Penser : https://ecrirelirepenser.com/2018/11/15/barbara-ebene-et-ivoire-denis-morin/?fbclid=IwAR3zo2k9cqpbZjJRquX7mIqrWyBLNevKv7kSvLcHoOgUS29gn_FA1oTdnp0

La Presse en parle : http://www.dansnoslaurentides.com/page86.html

 

Commentaire de Diane Boudreau, enseignante jusqu'en 2012, aujourd'hui chercheuse et écrivaine, souvent primée :

J’ai parcouru votre recueil avec un pur bonheur, reconnaissant l’univers de Félix, son intimité, son quotidien. C’était son souffle qui habitait vos textes, les premiers inspirés de Pieds nus dans l’aube,et de son père et sa mère, puis un autre sorti tout droit du Fou de l’Ile.

Et en écho au poème “Un pays à décrire”, j’entends Félix chanter “J’ai deux montagnes à traverser...” J’y reconnais Dedouche et la jeune Gaétane, nouvelle flamme qui l’attend sur la rive..., ses enfants... Aussi sa terre, ses bêtes, son fleuve, son ruisseau.

J’aime “Ce pays que je te donne”, “Farouche”et “Deux coups de rame” me rappelle ses frères et soeurs, riant tout plein dans la chaloupe.

J’aime “Mes humeurs”, “Froidures”, “Les amours assoupies”et au final, “L’allure du poète” :

                                   “S’émouvoir par en dedans, souffrance

                                    Exprimer les choses sans fioritures

                                    Comme une crêpe sans beurre, ni confiture

                                    ...

                                    Tout doux, tout doux, ne prends pas peur

                                    Car sous mon chapeau de fourrure

                                    Ou ma casquette qui freine le vent

                                    Se cache le plus tendre des poètes errants.”


 Merci de m’avoir partagé votre poésie, porteuse de tant d’attachement,  de respect et d’amour à Félix.
 

                                                     Diane Boudreau

 
 
 



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